24.12.10

Coucher de soleil


C’est un constant coucher de soleil que mes yeux contemplent, l’impression net que j’ai manqué la journée qui vient de se terminer, c’est un constant découragement qui ne s’émousse que par les cries désarticulé de mon âme privé de ce lien essentiel. Couché de soleil constant, insistant voire persistant. J’aime les coucher de soleil, ils évoque le repos, le travail achevé, la mort… . C’est un constant coucher de soleil dans mon cœur, l’impression net que j’ai manqué de vivre la vie, de respirer, de nourrir l’essence par l’essence, nourrir les sens par l’essence, chercher du sens dans les attribut de l’essence des essence. Inconnaissable. C’est un constant coucher de soleil, un constant mouvement de fermeture pour mes paupières, une constante fatigue, un bourdonnement hypnotique me signalant qu’il est temps de dormir. Las, je me laisse aller, encore et encore… quand verrais-je le jour se lever ? la colère, la tristesse m’engloutissent et le dégout des chaires pourrissables a l’infini, l’impulsion, les pulsions vive dévié par des forces négative, mordant de ses canines et de ses incisive, envoyant a mon cerveau une simple missive : esclave. Esclave de mes passion, de mes désirs, de mes rêves, de ma condition, de la chaire, des sens, des envies. Esclaves de mes chimères. Esclave de ce que veulent mes frères et de leurs bonne intentions, esclave de mon incapacité, laquelle attire trop mon attention.  Près de céder, de monter en tension, de donner mon âme en rançon. C’est un constant coucher de soleil que mon œil intérieur contemple, un coucher de soleil suivi d’une nuit qui n’est pas suivi par le jour mais par un autre coucher de soleil, le soleil se couche quand mon esprit tente l’éveil. L’illumination n’est elle possible que quand le soleil est a son zénith. Mais ou suis-je donc durant la journée ?